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[niko12]

Exposés aux élus municipaux de la communauté de commune, les progrès de télécommunication continuels et considérables semblent aussi de plus en plus gourmands en débit internet.

L’évolution des réseaux est donc une nécessité pour que le territoire reste attractif. De profondes mutations sont en cours sur la gestion et le financement des réseaux numériques et notamment celui de la fibre optique. Les communes à forte densité de population ont pu bénéficier d’un financement d’Orange. Pour l’Aveyron, il s’agit des zones AMI qui comprennent les communes de l’Agglo de Rodez (Baraqueville, Manhac et Camboulazet n’étaient pas inclues dans ce programme, quelles fassent partie ou non de cette collectivité) ainsi que les communes autour de Millau. Pour les autres, ce sont les intercommunalités qui auront en charge le déploiement des réseaux très haut débit. Le chantier réalisé à Lax était le dernier financé par le Conseil départemental.

Desservir l’ensemble du territoire

Pour organiser cette tâche, les communes de la CCPB ont fait appel au Sieda qui va proposer une solution à l’échelle de trois départements (Aveyron, Lozère et Lot). Le but sera d’acheminer la fibre vers les centres bourgs et de déployer le haut débit par des réseaux ADSL, satellites ou radio vers les habitations plus isolées. L’objectif restant de desservir l’ensemble du territoire d’ici 2022.

C’est dans ce contexte que le 26 janvier dernier, Jean-Luc Ambard, représentant le service du numérique du Sieda est venu présenter le déploiement du Très Haut Débit aux élus des communes du Pays baraquevillois.



source: centrepresse, la depeche